J'ai délaissé le blogue depuis 4 jours parce que j'aurais eu
de la difficulté à écrire sans que ce ne soit teinté de hargne... Hargne face
au système hondurien, à sa lenteur généralisée, à son manque de transparence.
Finalement, ça semble être partout pareil...
Plus on avance dans la mission 2012, plus on découvre des incongruités. Après 16 ans d'expérience en aide humanitaire, le GEM a su faire ses preuves à plusieurs niveaux et est reconnu tant à Cuba et au Salvador qu'au Pérou. Bien que ce soit notre première année en sol hondurien, on connaît la "machine". Ainsi, de se rendre compte qu'on essaie "de nous en passer une petite vite", notamment au niveau de l'allocation des maisons à construire, ça passe un peu de travers.
Plusieurs petits accrochages avec notre contact ici sont survenus, rien de majeur, mais cela suffit à nous épuiser et j'ai peur que ce soit les élèves qui en souffrent au final. Bien entendu, eux ne sont pas au courant et n'en sont pas témoins, mais mon manque de patience se fait de plus en plus ressentir... Ce n'est pas toujours évident de le cacher.
Plusieurs activités culturelles ont eu lieu; des journées passées dans la garderie de Tela à la visite des îles et du Parc National Puntasal, les élèves ont pu relaxer pour leurs derniers jours en sol hondurien. En même temps, ce fut l'occasion pour mon collègue et moi de rencontrer des gens pour la mission de l'an prochain, le réseau de contacts s'agrandit.
Ce soir, c'était soirée de réjouissances au restaurant-hôtel Maya Vista, propriété d'un Québécois. Nous avons fait un retour avec les élèves sur le travail accompli, sur la marque qu'ils auront laissée ici. S'ils commencent à en être conscients, ils ne se doutent toutefois pas de la portée qu'aura eue sur eux cette expérience. On dit que les voyages forment la jeunesse, celui-ci en sera une autre preuve incontestable.
Demain aura lieu la procession épiscopale à la maison construite pour Maria. Cet événement marquera la fin d'une belle et grande aventure pour le groupe. Ce sera ensuite le temps de relaxer à la plage et de se préparer au retour au Québec.
Malgré les pépins survenus, ce fut une expérience positive à tous points de vue. En même temps, il est normal d'avoir rencontré ces situations puisque c'était une année d'appropriation. L'an prochain, nous aurons l'expérience d'une deuxième année et une connaissance plus grande du mode de vie hondurien.
Avant d'en arriver là, profitons de nos derniers instants...!
Plus on avance dans la mission 2012, plus on découvre des incongruités. Après 16 ans d'expérience en aide humanitaire, le GEM a su faire ses preuves à plusieurs niveaux et est reconnu tant à Cuba et au Salvador qu'au Pérou. Bien que ce soit notre première année en sol hondurien, on connaît la "machine". Ainsi, de se rendre compte qu'on essaie "de nous en passer une petite vite", notamment au niveau de l'allocation des maisons à construire, ça passe un peu de travers.
Plusieurs petits accrochages avec notre contact ici sont survenus, rien de majeur, mais cela suffit à nous épuiser et j'ai peur que ce soit les élèves qui en souffrent au final. Bien entendu, eux ne sont pas au courant et n'en sont pas témoins, mais mon manque de patience se fait de plus en plus ressentir... Ce n'est pas toujours évident de le cacher.
Plusieurs activités culturelles ont eu lieu; des journées passées dans la garderie de Tela à la visite des îles et du Parc National Puntasal, les élèves ont pu relaxer pour leurs derniers jours en sol hondurien. En même temps, ce fut l'occasion pour mon collègue et moi de rencontrer des gens pour la mission de l'an prochain, le réseau de contacts s'agrandit.
Ce soir, c'était soirée de réjouissances au restaurant-hôtel Maya Vista, propriété d'un Québécois. Nous avons fait un retour avec les élèves sur le travail accompli, sur la marque qu'ils auront laissée ici. S'ils commencent à en être conscients, ils ne se doutent toutefois pas de la portée qu'aura eue sur eux cette expérience. On dit que les voyages forment la jeunesse, celui-ci en sera une autre preuve incontestable.
Demain aura lieu la procession épiscopale à la maison construite pour Maria. Cet événement marquera la fin d'une belle et grande aventure pour le groupe. Ce sera ensuite le temps de relaxer à la plage et de se préparer au retour au Québec.
Malgré les pépins survenus, ce fut une expérience positive à tous points de vue. En même temps, il est normal d'avoir rencontré ces situations puisque c'était une année d'appropriation. L'an prochain, nous aurons l'expérience d'une deuxième année et une connaissance plus grande du mode de vie hondurien.
Avant d'en arriver là, profitons de nos derniers instants...!
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